« Compte tenu de l’ampleur et de la gravité des violations, ainsi que de l’incapacité ou de la réticence de l’État à demander des comptes, il convient d’envisager des options de responsabilité internationale, y compris le renvoi de la situation devant la Cour pénale internationale », a déclaré jeudi au Conseil des droits de l’homme, Nada Al-Nashif, Haut-Commissaire adjointe aux droits de l’homme.

Si le rapport met l’accent sur l’obligation de rendre des comptes, il souligne également de « graves préoccupations persistantes » concernant les violations commises en RPDC, concernant notamment le droit à l’alimentation, où les politiques de l’État semblent avoir exacerbé une grave famine, et les restrictions sévères à la liberté d’expression.

Le répertoire central des preuves des violations des droits de l’homme en RPDC a ainsi permis une analyse plus approfondie des violations commises depuis de nombreuses années, notamment l’emprisonnement, la torture, la réduction en esclavage, les disparitions forcées et les enlèvements, le travail forcé à l’étranger et la traite des êtres humains. 

Source of original article: United Nations (news.un.org). Photo credit: UN. The content of this article does not necessarily reflect the views or opinion of Global Diaspora News (www.globaldiasporanews.com).

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